CBFX-FM

CBFX-FM, ICI Musique, Montréal

Canadian Broadcasting Corp.

StationAnnéeFréq.PuissanceProp./Info
CBFX-FM197195.150,000Societe Radio Canada
CBFX-FM196695.124,600Societe Radio Canada
CBFX-FM195795.13,680Societe Radio Canada
VE9FD-FM194698.1250Societe Radio Canada

1945

À cette époque, la SRC était la seule entreprise de radiodiffusion à exploiter la bande FM à Montréal. Les émissions étaient transmises à partir du bureau central du département d’ingénierie de Radio-Canada, situé dans l’édifice Keefer, où un émetteur FM de faible puissance (25 watts) diffusait des émissions FM sur une base quotidienne. Ce service FM était fourni de manière à assurer que les ingénieurs de Radio-Canada et les fabricants de récepteurs de radios locaux puissent disposer à tout moment de transmissions FM afin de mettre à l’essai leurs récepteurs. La SRC projetait également de faire construire une station FM sur le Mont Royal dès que l’équipement serait disponible. À l’automne 1944, la SRC avait effectué plusieurs essais techniques au Mont Royal. Un émetteur d’une puissance de 3000 watts avait été commandé et devait être installé au sommet du Mont Royal. La Société projetait d’y faire construire un bâtiment afin d’y abriter le nouvel émetteur ainsi que des équipements de télévision. 

1946

La SRC annonçait des plans pour une ouvrir une station FM expérimentale à Montréal.

Le 13 mars, la Société Radio-Canada inaugurait la station FM expérimentale VE9CB. Elle diffusait à la fréquence 98,1 MHz avec 250 watts de puissance. L’émetteur était situé sur le Mont Royal. Cette station deviendrait par la suite CBF-FM.

Le 14 novembre, la SRC inaugurait la station FM VE9FD, diffusant à la fréquence 100,7 MHz avec une puissance de 250 watts. L’émetteur était situé au Mont Royal. Cette station deviendrait par la suite CBM-FM.

1948

Le 5 mars, la station changeait de lettres d’appel, devenant  CBF-FM, et  diffusait désormais à la fréquence 95,1 MHz avec une puissance apparente rayonnée de 4200 watts.

Vers la fin de l’année, la SRC commençait  des travaux de réfection à l’Hôtel Ford qui deviendrait l’édifice de Radio-Canada. Il était prévu que ces travaux se poursuivent jusqu’à l’automne 1949. L’édifice abriterait des studios et bureaux du service international à ondes courtes, de CBF, de CBM, des réseaux (Dominion, Trans-Canada et du réseau français), ainsi que le bureau central des services techniques de la SRC.

1949

Marcel Ouimet était directeur et M. Valiquette était directeur commercial.

1951

Le 18 mai, devant plus d’un millier d’invités, le Dr J. J. McCann, ministre responsable de la SRC, a coupé le ruban officiel, inaugurant ainsi l’édifice de Radio-Canada à Montréal. Les allocutions prononcées par le Dr McCann, le Dr Augustin Frigon, directeur général de la SRC, et Davidson Dunton, président de la SRC, furent diffusées d’un océan à l’autre pendant une émission spéciale d’une durée de 15 minutes. Les nouveaux locaux acquis par la SRC en 1948, étaient situés dans un édifice de 12 étages où était auparavant logé l’Hôtel Ford. Il a fallu plus de deux ans afin de moderniser et adapter l’édifice en vue de rencontrer les exigences de la radio et de la télévision. L’édifice abritait dorénavant le réseau français de Radio-Canada, le service international, la station de télévision de CBC Montréal (de langue anglaise), de même que les bureaux nationaux du personnel et de l’administration, la division de l’ingénierie et la direction. La production sur place de 18 heures de programmation chaque jour nécessitait l’emploi de plus de 600 employés de la SRC et de 600 artisans de la radio. Les émissions nationales étaient produites dans les deux langues alors que le service international diffusait des émissions en 14 langues. Une fois les travaux de modernisation achevés, l’édifice abritait 26 studios de radio modernes et trois studios de télévision. Quatre émetteurs de 50 000 watts y avaient déjà été installés – deux pour les stations FM et deux autres pour la diffusion en ondes courtes. Les salles de nouvelles, les salles d’enregistrement ainsi que la régie centrale étaient déjà en place. La régie centrale – imposante salle de contrôle – pouvait gérer simultanément les opérations de cinq émetteurs, la diffusion de huit réseaux, la réception de sept réseaux et les opérations dans 26 studios. Dans une large mesure il s’agissait d’opérations automatisées.

La SRC a annoncé que les services de télévision seraient lancés au Canada dans le courant de janvier 1952 à partir de Toronto. Il avait auparavant été espéré que les premières transmissions télévisuelles se fassent à partir de Toronto en septembre 1951. Le choix définitif du mont Royal pour l’emplacement de l’antenne fut pris en mai 1951. La station de Montréal entrerait probablement en ondes au printemps suivant (1952), mais l’achèvement des travaux de modernisation était sujet à des retards en raison de pénuries de matériaux de construction, en particulier d’acier. Toronto aurait deux studios – d’une superficie de 5000 pieds carrés et de 2000 pieds carrés respectivement – ainsi qu’une cinémathèque et des salles de transmission. L’investissement dans ces équipements à Toronto totaliserait approximativement 2.000.000 $. Au départ, Toronto serait le principal centre de production en anglais, produisant trois heures de programmation par jour: environ deux heures de cette programmation devaient être transmises quotidiennement à Montréal. La station de Montréal serait bilingue, mais la plupart des émissions produites sur place seraient en français. Il était à espérer que certaines émissions de langue anglaise seraient éventuellement produites à Montréal également.

La SRC a confirmé qu’elle utiliserait le mont Royal pour l’emplacement de son émetteur. Elle a soumis un plan à cet effet aux fonctionnaires municipaux. Doté d’un sous-sol et d’un étage, l’édifice de l’émetteur abriterait l’émetteur de télévision ainsi que deux émetteurs FM. Faisant moins de 300 pieds de haut, la tour serait couronnée de l’antenne de la première station de télévision de la ville. Les antennes des deux stations FM se situeraient en dessous de l’antenne de télévision, et il y aurait de la place pour l’expansion de la télévision. Au bout de presque une année d’études des différents sites potentiels, les ingénieurs de Radio-Canada ont estimé que le sommet du mont Royal était le seul emplacement approprié pour la transmission de signaux de télévision, car lui seul garantissait une couverture complète de la région métropolitaine. Afin d’éviter toute interférence avec le trafic aérien, les autorités de l’aviation civile ont toutefois imposé des limites à la hauteur de l’antenne.

1957

À cette époque, CBF-FM diffusait à la fréquence 95,1 MHz avec une puissance de 3860 watts. L’émetteur et l’antenne étaient situés au mont Royal.

1965

CBF-FM avait désormais une puissance apparente rayonnée de 24,600 watts.

1969

La SRC détenait ou louait 22 édifices différents à travers la ville de Montréal. En 1972, toutes ces installations allaient être regroupées sous un même toit lorsque la Maison de Radio-Canada a été inaugurée. La Maison comprenait une tour à bureaux de 23 étages, d’une superficie de 900 pieds par 510 pieds sur un terrain de 25 acres dans le centre-est de la ville. Les nouvelles installations de radio comprendraient 11 studios de production (3 desquels seraient dotés d’équipements stéréo), 8 studios de présentation et 7 salles de montage.

1971

Après avoir échangé de fréquences avec sa station soeur CBM-FM (la station FM du réseau anglais de Radio-Canada) et augmenté sa puissance, CBF-FM inaugurait ses émissions en stéréo.  CBF-FM changeait ainsi de fréquence, se déplaçant du 95,1 MHz au 100,7 MHz, et augmentait sa puissance apparente rayonnée de 24.600 watts à 100.000 watts.

En novembre, les stations montréalaises de Radio-Canada commençaient à diffuser à partir de la nouvelle Maison de Radio-Canada, située au 1400, boulevard Dorchester Est (désormais le 1400 boulevard René-Lévesque Est). Les installations furent officiellement inaugurées le 5 décembre 1973.

1973

La Maison de Radio-Canada ouvrait ses portes au public en juin, et fut officiellement inaugurée le 5 décembre, par le premier ministre Pierre Elliot Trudeau.

1977

Le 21 juillet, le réémetteur CBF-FM-1 entrait en ondes à Trois-Rivières.

1983

CBF-FM-1 Trois-Rivières recevait l’autorisation de déplacer les installations et le site d’antenne de Drummondville à Trois-Rivières et à diminuer la puissance apparente rayonnée de 50 000 à 47 000 watts. Cette approbation était assujettie à la condition que la Société choisisse l’une des fréquences disponibles dans la région de Trois-Rivières, conformément au Plan d’attribution des canaux MF du ministère des Communications. A la suite de discussions avec la SRC, le Conseil acceptait la proposition de la Société visant à exploiter la station CBF-FM-1 Trois-Rivières à la fréquence 104,3 MHz (canal 282C1). Le Conseil faisait remarquer qu’aucune fréquence non commerciale appropriée n’était disponible pour cette station. En outre, le CRTC s’attendait à ce que l’engagement pris par la Société de mettre en oeuvre cette proposition au cours des prochains douze à quatorze mois, en même temps que le changement de fréquence de CBF-8-FM Trois-Rivières tel qu’autorisé, soit respecté.

1985

Le 9 mai, CBF-FM recevait l’autorisation d’ajouter un émetteur à Sherbrooke, à la fréquence 89,7 MHz avec une puissance apparente rayonnée de 678 watts

1986

Le 1er octobre, CBF-FM-1 Trois-Rivières recevait l’autorisation de diminuer la puissance apparente rayonnée de 47,000 watts à 38.400 watts. La SRC indiquait que la zone de couverture de la station serait légèrement réduite par suite de la diminution de puissance. Cependant, le service continuerait à être fournie à une zone qui pourrait ne plus recevoir le signal de CBF-FM-1 à CBF-FM Montréal ou CBV-FM Québec.

1994

Le 19 septembre, CBF-FM-2 Sherbrooke recevait l’autorisation d’augmenter la puissance apparente rayonnée de 678 watts à 25.000 watts et de changer de fréquence, du 89,7 MHz au 90,7 MHz.

CBF-FM-2 – dont la licence avait déjà été attribuée en 1985, entrait finalement en ondes le 20 octobre.

1995

Le 17 août, la SRC recevait l’autorisation d’offrir une programmation distincte sur CBV-FM Québec et CJBR-FM Rimouski. Jusqu’à cette époque, ces réémetteurs avaient diffusé la programmation de CBF-FM Montréal dans son intégralité. En vertu des nouvelles licences, CBV-FM et CJBR-FM ajouteraient de la programmation locale composée de bulletins météorologiques et d’annonces concernant des événements culturels. CBV-FM diffuserait à la fréquence 95,3 MHz avec une puissance apparente rayonnée de 100,000 watts tandis que CJBR-FM diffuserait à la fréquence 101.5 MHz avec une PAR de 50.000 watts.

1997

Le 1er septembre, le réseau FM stéréo de Radio-Canada fut renommé « La Chaîne culturelle ».

1998

CBF-AM (690 kHz) migrait vers la bande FM, devenant ainsi CBF-FM. Par conséquent, CBF-FM changeait de lettres d’appel, devenant CBFX-FM.

Le 26 novembre, la SRC recevait l’autorisation d’exploiter une entreprise de radio numérique transitoire pour desservir Montréal. Installé sur la tour située au sommet du mont Royal, l’émetteur exploiterait le système de radiodiffusion audio numérique EUREKA-147. CBF-FM serait exploitée à la fréquence 1458.048 MHz avec une puissance isotrope rayonnée de 11.724 watts.

1999

Le 25 novembre, CBFX-FM recevait l’autorisation d’ajouter un émetteur à Amos, à la fréquence 88,3 MHz avec une puissance apparente rayonnée de 32.400 watts.

2000

Le 25 février, CBFX-FM recevait l’autorisation d’ajouter un émetteur à Gaspé, à la fréquence de 90,1 MHz avec une puissance apparente rayonnée de 2160 watts.

Le 27 juillet, CBFX-FM-3 Amos entrait en ondes.
  

2001

Le 30 avril CBFX-FM-5 Gaspé entrait en ondes.

En 2001, CBFX-FM exploitait les émetteurs CBFX-FM-1 Trois-Rivières, CBFX-FM-2 Sherbrooke, CBFX-FM-3 Amos, CBFX-FM-4 Rouyn et CBFX-FM-5 Gaspé. CBFX-FM et diffusait approximativement 20 minutes d’annonces concernant les événements artistiques locaux chaque semaine à partir de Montréal. CBRX-FM Rimouski diffusait environ 20 minutes d’annonces concernant les événements artistiques locaux chaque semaine à partir de Rimouski. CBVX-FM Québec et CBVX-FM-1 Sainte-Anne-de-Beaupré diffusait environ 20 minutes d’annonces concernant les événements artistiques locaux chaque semaine à partir de Québec. CBJX-FM Chicoutimi diffuse environ 20 minutes d’annonces concernant les événements artistiques locaux chaque semaine à partir de Chicoutimi.

Le 1er octobre, CBFX-FM-5 Gaspé recevait l’autorisation d’augmenter la puissance apparente rayonnée de 2160 watts à 4110 watts.

2002

Le 30 avril, CBFX recevait l’autorisation d’ajouter un émetteur à Mont-Laurier. Il serait exploité à la fréquence de 91,1 MHz avec une puissance apparente rayonnée de 72.000 watts.
 
Le 11 septembre, CBFX-FM-1 Trois-Rivières recevait l’autorisation de déplacer son émetteur sur un site à 1,9 kilomètre au nord-est du site autorisé et d’augmenter sa puissance apparente rayonnée de 38.400 watts à 43.000 watts.

2004

Le 1er septembre, la Société Radio-Canada recevait l’autorisation d’acquérir CHLM-FM Rouyn-Noranda et son émetteur CHLM-FM-1 Amos / Val d’Or de Radio Nord. Depuis février 2000, CHLM-FM avait diffusé dans son intégralité la programmation du réseau régional de la SRC et Radio Nord n’avait diffusé aucune programmation locale sur cette station. La SRC prenait donc l’engagement de produire 27 heures et 30 minutes de programmation locale par semaine. Le reste de la programmation proviendrait du réseau de radio La Première Chaîne de Radio-Canada, cette programmation devant parvenir de CBF-FM Montréal.

En septembre, La Chaîne culturelle fut renommée Espace musique.

2009

Le 12 mai, le CRTC renouvelait la licence de CBFX-FM. Ce renouvellement incluait les réémetteurs suivants: CBFX-DR-1 Montréal, CBFX-FM-1 Trois-Rivières, CBFX-FM-2 Sherbrooke, CBFX-FM-3 Amos, CBFX-FM-4 Rouyn, CBFX-FM-5 Gaspé, et CBFX-FM-6 Mont-Laurier.

2010

Le 5 février, le CRTC approuvait la demande présentée par la SRC à l’égard de CBF-FM en vue d’augmenter la hauteur effective de l’antenne au-dessus du sol moyen de 242,7 à 298,9 mètres. Tous les autres paramètres techniques demeurent inchangés. La SRC indiquait que ces changements visaient à améliorer le service de radio de la Première chaîne dans la grande région de Montréal.

En raison d’un manque total d’intérêt pour la radio numérique chez toutes les parties concernées, la SRC informait le CRTC qu’elle cesserait l’exploitation de ses émetteurs de radio numérique de Montréal CBME-DR-1, CBM-DR-1, CBF-DR-1 et CBFX -DR-1. Le 15 juin, le Conseil révoquait la licence de radiodiffusion attribuée à la SRC pour ces émetteurs.

Le 9 août, le CRTC renouvelait administrativement la licence de CBFX-FM (et de ses émetteurs) jusqu’au 31 août 2011.

2011

Le 25 août, le CRTC renouvelait administrativement la licence de CBFX-FM et de ses émetteurs jusqu’au 1er mars 2013.

2013

Le 22 février, le CRTC renouvelait administrativement les licences de CBFX-FM Montréal et de ses émetteurs jusqu’au 31 août 2013.

Le 25 avril, le CRTC approuvait deux demandes soumises par la Société Radio-Canada en vue d’exploiter de nouvelles entreprises de programmation de radio FM de langue française à Trois-Rivières et à Sherbrooke. Les nouvelles stations remplaceraient les émetteurs CBFX-FM-1 Trois-Rivières et CBFX-FM-2 Sherbrooke, qui retransmettaient les émissions de CBFX-FM Montréal. Les stations de Trois-Rivières et Sherbrooke offriraient au moins 20 minutes de programmation locale par semaine de radiodiffusion. La programmation locale comprendrait des reportages culturels régionaux, et pour certaines émissions, un animateur local qui couvrirait les nouvelles régionales, y compris les nouvelles culturelles régionales. Le contenu local diffusé par ces stations serait différent de celui diffusé par les autres stations du réseau Espace musique. Le reste de la programmation pour les stations de Trois-Rivières et Sherbrooke proviendrait du réseau Espace musique. Le CRTC approuvait également les demandes soumises de la SRC visant à modifier la licence de radiodiffusion de CBFX-FM Montréal en supprimant les réémetteurs CBFX-FM-1 Trois-Rivières et CBFX-FM-2 Sherbrooke de cette licence.

Le 28 mai, le CRTC renouvelait la licence de CBFX-FM Montréal et de ses émetteurs CBFX-FM-3 Amos, CBFX-FM-4 Rouyn, CBFX-FM-5 Gaspé et CBFX-FM-6 Mont-Laurier, pour une durée de cinq ans, soit jusqu’au 31 août 2018. Le Conseil estimait qu’il était approprié d’imposer les conditions de licence suivantes: Espace Musique ne pourrait diffuser plus de quatre minutes de publicité nationale payée par heure d’horloge, et ne pourrait interrompre la programmation plus de deux fois au cours de chaque heure d’horloge. Espace Musique serait autorisé à diffuser de la publicité pour une période d’essai de trois ans allant du 1er septembre 2013 au 31 août 2016.

Le 5 décembre, le CRTC autorisait la SRC à diffuser de la publicité sur les réseaux Radio 2 et Espace Musique. La titulaire ne pourrait diffuser plus de quatre minutes de publicité payée par heure d’horloge, et la SRC serait obligée de présenter une nouvelle demande d’autorisation de diffusion de messages publicitaires  sur les deux réseaux après trois ans.

2014

Le 8 octobre, le CRTC approuvait la demande de la SRC visant à changer la polarisation horizontale de l’antenne CBFX-FM en polarisation circulaire et d’augmenter la hauteur de l’antenne.

2016

Le 30 septembre, le CRTC approuvait la demande présentée par la Société Radio-Canada en vue de modifier le périmètre de rayonnement autorisé de l’émetteur de rediffusion CBFX-FM-4 Rouyn-Noranda, passant d’une antenne directionnelle à une antenne non-directionnelle, et diminuant la puissance apparente rayonnée moyenne de 17 200 à 10 912 watts (la PAR maximale passant de 26 700 à 10 912 watts) et réduisant la hauteur effective d’antenne au-dessus du sol moyen de 204,2 à 110,2 mètres. La SRC indiquait que ces modifications lui permettraient de combiner ses services FM à Rouyn-Noranda et ainsi de réduire ses coûts.
À l’automne, la Société Radio-Canada annonçait qu’elle confierait au Groupe Broccolini la construction de la nouvelle Maison de Radio-Canada à Montréal et qu’elle vendrait au Groupe Mach la partie ouest de la grande propriété (avenue René-Lévesque et Papineau) occupée par ses installations. Ces transactions nécessiteraient toujours l’approbation du Conseil du Trésor.

Le 31 août, le CRTC rejetait la demande présentée par Radio-Canada visant à poursuivre la diffusion de publicité sur Radio 2 et ICI Musique au-delà de la modification initiale de licence sur trois ans. Le CRTC faisait remarquer que la SRC n’avait pas réussi à maintenir un investissement satisfaisant dans ses opérations radio et n’avait pas réussi à atteindre les projections des revenus publicitaires.

2017

En octobre, le CRTC autorisait la SRC à augmenter la PAR de CBFX-FM-6 Mont-Laurier de 72 000 à 83 800 watts et à réduire la hauteur de l’antenne.

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Effective September 1st 2019, we will only be adding new material to these station histories in exceptional circumstances. Our intent to chronicle the early days of these radio and television stations has been achieved, and many new sources and technologies, from the CRTC website to Wikipedia, and others, are now regularly providing new information in these areas.

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