CHLR-AM, Moncton
Radio-Aboiteaux ltée. / Left the air.
Station | Année | Fréq. | Puissance | Prop./Info |
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CHLR-AM | 1986 | 1380 | 10,000 | Radio-Aboiteaux ltée. / Left the air. |
CHLR-AM | 1981 | 1380 | 10,000 | Radio-Aboiteaux ltée. |
1980
Ruffino Landry, au nom d’une société devant être constituée sous le nom de Radio-Aboiteaux ltée (Radio-Aboiteaux), obtenait une licence en vue d’exploiter une station de radio AM de langue française à Moncton. Rufino proposait de diffuser en 1380 kHz avec une puissance à plein temps de 10 000 watts, mais le Conseil lui conseillait de chercher une autre fréquence afin d’améliorer la couverture de la zone. Le tiers de la population de Moncton était francophone et la station desservirait quelque 60.000 francophones. Les actionnaires de la nouvelle société détenaient également CJVA à Caraquet, NB. Une demande concurrente déposée par Edward J. McGrath (pour une station anglophone au 1400 kHz, avec une PAR de 10 000 watts) fut refusée parce qu’il n’y avait pas assez d’auditeurs à Moncton pour deux nouvelles stations.
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1981
Le 31 octobre, CHLR entrait en ondes. Elle finissait par diffuser à la fréquence 1380 kHz, avec une PAR de 10 000 watts. Les studios et les bureaux étaient situés à la Place de l’Assomption au centre-ville de Moncton. Le bâtiment avait récemment libéré été par CKCW et CFQM-FM.
1984
CHLR recevait l’autorisation de devenir une affiliée du réseau exploité par Télémédia Communications inc.
La plupart des effectifs chez CHLR étaient mis à pied en novembre en raison de difficultés financières.
1985
Depuis sa création, CHLR avait eu de la difficulté à attirer suffisamment d’auditeurs et de recettes pour rentabiliser l’entreprise. Au début de l’année, Radio-Aboiteaux ltée faisait une déclaration de faillite que ses créditeurs et la cour ont acceptée. CHLR 1380 n’était plus en ondes à partir du 2 janvier. Ali LeBouthilier, président de l’entreprise, disait que cette dernière ferait la demande d’un nouveau format, tout en espérant revenir en ondes dans trois à six mois
1986
Les premiers actionnaires de Radio-Aboiteaux, Rufino Landry et Ali LeBouthillier, ainsi que quatre nouveaux partenaires, demandaient maintenant l’autorisation d’exploiter une nouvelle station radiophonique AM de langue anglaise offrant un service de musique contemporaine aux auditeurs âgés entre 12 et 49 ans, à la fréquence de l380 kHz avec une PAR de 10 000 watts. Quoique cette requérante ait exprimé « le désir de satisfaire les besoins de la population francophone du sud-est du Nouveau-Brunswick », le Conseil n’était pas convaincu que son approche de nature expérimentale en matière de programmation bilingue consistant à « tester la réaction des auditeurs » permettrait d’offrir une programmation de langue française qui réponde aux besoins de la collectivité. En arrivant à cette conclusion, le Conseil avait également pris en considération la tentative infructueuse précédente de Radio-Aboiteaux en vue d’implanter un service radiophonique de langue française et il estimait qu’une autre période expérimentale n’était pas justifiée dans les circonstances. De plus, après avoir tenu compte de tous les renseignements contenus dans la demande et des réponses données par la requérante à l’audience, le Conseil n’était pas convaincu que la formule musicale contemporaine ou que l’ensemble de la programmation proposée par Radio-Aboiteaux constituait réellement un autre choix par rapport au service déjà offert à cette époque actuellement par CKCW. La demande présentée par Radio-Aboiteaux fut refusée
Mise à jour août 2008
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Effective September 1st 2019, we will only be adding new material to these station histories in exceptional circumstances. Our intent to chronicle the early days of these radio and television stations has been achieved, and many new sources and technologies, from the CRTC website to Wikipedia, and others, are now regularly providing new information in these areas.