CKSB-FM-10, La Première Chaîne, Winnipeg
Canadian Broadcasting Corp.
Station | Année | Fréq. | Puissance | Prop./Info |
---|---|---|---|---|
CKSB-FM-10 | 2014 | 88.1 | 100,000 | Canadian Broadcasting Corp. |
CKSB-AM | 1973 | 1050 | 1,000 | Radio -Canada (CBC French Network) |
CKSB-AM | 1946 | 1250 | 1,000 | Radio Saint Boniface Ltee. |
1941
Sept personnalités publiques évoquaient la possibilité de lancer une station de radio de langue française dans l’Ouest canadien.
1945
Les résidents de Saint-Boniface (Manitoba) étaient persuadés qu’une station de radio de langue française verrait bientôt le jour dans leur communauté. Walter Rush, contrôleur radio au ministère des Transports, leur avait apparemment dit que le Conseil privé allait bientôt donner le feu vert à la construction et l’exploitation d’une station. À ce stade, aucune objection n’avait été soulevée au sujet de l’utilisation de la fréquence 1250 kHz. Saint-Boniface Radio Ltée avait ramassé environ 54,000.00 $, ce qui représentait plus de la moitié de la somme requise pour lancer la station. Le Dr Henri Guyot agissait comme président de l’entreprise, et le Père A. d’Eschambault comme secrétaire. L’entreprise disposait de bureaux temporaires au 140, avenue Provencher, à Saint-Boniface.
1946
Louis E. Leprohon, directeur général de la nouvelle station de langue française, prévoyait que CKSB entre en ondes début avril. Il affirmait que l’entreprise avait obtenu sa licence, et qu’elle était en train d’installer un nouvel émetteur Northern Electric d’une puissance de 1000 watts. CKSB diffuserait entièrement en français selon une grille répartie en blocs de temps. La station mettait l’accent sur les nouvelles, et cherchait à monter un véritable service de nouvelles en français. À titre de station non affiliée à un réseau, CKSB se concentrerait sur la programmation communautaire tout en faisant une solide promotion de ses émissions. Leprohon travaillait dans le domaine de la radio depuis 8 ans. Il avait commencé au département des ventes de CKAC Montréal, devenant plus tard directeur commercial de cette station. Par la suite, il avait travaillé pour l’agence de publicité F.H. Hayurst Co. Ltd., à Montréal. Il fut nommé directeur général de CKSB en date du 1er février.
Le 27 mai, au bout de quatre ans et huit mois, CKSB, première station de radio de langue française de l’Ouest canadien, entrait en ondes. Lors de la soirée d’ouverture, les personnalités invitées à prendre la parole incluaient George McLean (maire de Saint-Boniface), R.F. Williams (lieutenant-gouverneur du Manitoba), Stuart Garson (premier ministre du Manitoba), le Dr Henri Guyot (président de Radio Saint-Boniface Ltée), et Louis E. Loprohon (directeur général de CKSB).
Radio Saint-Boniface Ltée, une coopérative, détenait CKSB, dont les studios et bureaux se trouvaient au 607, rue College à Saint-Boniface. La station diffusait à la fréquence 1250 kHz avec une puissance à temps plein de 1 000 watts. Les tours et l’émetteur Northern Electric étaient situés sur la route Dawson.
La station diffusait de 0700 à 14h00 du lundi au samedi, et de 17h00 à 22h00 le dimanche. Diffusant une programmation exclusivement de langue française, la station utilisait une grille répartie en blocs de temps. Cette station non affiliée à un réseau mettait l’accent sur les nouvelles. Les lettres « SB » dans l’indicatif d’appel signifiaient « Saint-Boniface », la ville de licence.
Slogan publicitaire : La première station de langue française dans l’Ouest canadien.
Henri Pinvidic se joignait au personnel en ondes, à titre d’annonceur. Norbert Préfontaine et Maurice Arpin se joignaient sur une base temporaire au service des nouvelles. Léo Rémillard se joignait CKSB comme présentateur.
1947
Louis Souchon fut nommé chef des nouvelles, succédant à Albert LeGrand qui avait quitté la station pour retourner aux études universitaires. Léo Rémillard agissait comme présentateur.
À l’automne, CKSB ajoutait une heure à sa journée de radiodiffusion. Après avoir diffusé de 07h30 à 22h00, la station diffusait désormais de 07h00 à 22h30.
1948
Roland Couture fut élu président de Radio Saint-Boniface Ltée. Les autres dirigeants de l’entreprise comprenaient le Dr Paul L’Heureux (premier vice-président), Célestin Champagne (deuxième vice-président), Gérard Leveille (trésorier), le Père A. d’Eschambault (secrétaire), le Dr Henri Guyot (ancien président, désormais membre de l’exécutif). Louis Leprohon demeurait au poste de directeur général et René Dussault à celui de directeur des émissions.
Louis Leprohon fut nommé au poste de directeur général de CKCO Ottawa. Ayant dirigé CKSB depuis le 1er février 1946, il quittait la station le 27 mars afin d’assumer son nouveau poste le 1er avril. René Dussault fut nommé directeur intérimaire.
Slogans : la seule station de radio canadienne détenue et exploitée par ses auditeurs. La meilleure musique en ville.
CKSB annonçait qu’à compter du 2 septembre, sa journée de radiodiffusion s’allongerait de 12 heures à 16 heures. Elle serait désormais en ondes de 07h00 à 23h00.
Lillian Bergeron animait une chronique radio destinée aux femmes.
1949
Henri Pinvidic travaillait en ondes à CKSB. En date du 23 février, le présentateur Henri Bergeron quittait CKSB afin de se joindre au personnel de CKCH Hull. Max Desaulniers (un novice de la radio) se joignait au personnel en ondes de CKSB. Après avoir animé sa chronique, Lianne Bergeron se joignait au personnel en ondes (de 09h00 à 11h00, six jours par semaine). Claude Cloutier se joignait également au personnel en ondes.
Roland Couture (président du conseil d’administration) fut nommé directeur de CKSB.
Après une année d’études en art dramatique à Paris, Léo Rémillard reprenait du service actif à CKSB en tant qu’annonceur. Il avait travaillé à CKSB en 1946-1947. Le directeur des émissions René Dessault fut promu directeur adjoint. Léo Rémillard lui succédait au poste de directeur des émissions.
1950
Slogan publicitaire : La clé du marché français dans la province « clef de voûte » du Canada.
Léo Brodeur agissait comme annonceur. L’opérateur de l’émetteur Louis Bodir quittait CKSB et l’industrie radiophonique. Denis Belair se joignait au personnel en ondes. Rosmarie Bissonnette fut transférée de la continuité au personnel en ondes. Leslie Day fut affecté à l’équipe responsable de l’émetteur. Le professeur Meredith Jones (Université du Manitoba) animait l’émission « Apprenons le français ».
1952
Désormais, le réseau de radio de langue française de Radio-Canada desservait une grande partie du territoire canadien, d’Edmundston, Nouveau-Brunswick jusqu’à Edmonton, Alberta. CKSB Saint-Boniface, CHFA Edmonton, CFRG Gravelbourg et CFNS Saskatoon se joignaient au réseau.
1953
Le Conseil de Radio-Canada approuvait le transfert de 466 actions ordinaires et l’émission de 73 actions ordinaires de Radio Saint-Boniface Ltée. Plus tard dans l’année, le Conseil approuvait un nouveau transfert de 48 actions ordinaires.
1955
CKSB se joignait à l’Association canadienne des radiodiffuseurs
1957
Il est à noter qu’en plus de sa programmation de langue française, CKSB diffusait également des émissions dans sept autres langues. La station était détenue par des milliers de Manitobains francophones. C. E. Champagne agissait comme président de l’entreprise, et Roland Couture comme directeur de CKSB. Selon ce dernier, même si CKSB faisait des profits, ce n’était pas là son objectif principal : elle cherchait plutôt à fournir un service à chaque auditeur. Plusieurs personnalités de la radio canadienne avaient fait leurs débuts sur les ondes de CKSB, dont Gisèle Mackenzie et Henri Bergeron, qui avait été le premier annonceur de la station.
À cette époque, CKSB était une station affiliée au réseau de langue française de Radio-Canada. Elle diffusait à la fréquence 1250 kHz avec une puissance de 1000 watts (un seul diagramme de rayonnement directionnel à temps plein). L’actionnariat de Radio Saint-Boniface Ltée incluait : C. Champagne à hauteur de 2,3%, G. Leveille 2,0%, le Dr P.E. LaFlèche 2,2%, l’abbé A. d’Eschambault 2,2%, J.A. Dansereau 2,2%, E. Saint-Amant 3,7%, L. Landry 3,4%, J. Deroche 3,5%, le Dr H. Guyot 3,5%, l’abbé J. A. D. McDougall 1,9%, l’abbé. L. Senez 1,9%, A. Lemoine 1,9%, R. Couture 3,4%, A. Gallant 2,8%, J. Vanbelleghem 3,4% ainsi que 28 autres actionnaires à hauteur de 59,7%.
1958/1960
CKSB fut autorisée à changer de fréquence, passant du 1250 au 1050 kHz, et à augmenter la puissance de 1000 à 10 000 watts. Une demande concurrente fut refusée. Par cette demande, William Zukus de Prince Albert, SK, avait proposé d’exploiter une station à Transcona, dans la banlieue de Winnipeg, à la fréquence 1050 kHz avec une puissance diurne de 1000 watts et nocturne de 500 watts.
CKSB espérait augmenter la puissance de 1000 à 10 000 watts dès le mois de novembre.
Slogan publicitaire : 4 stations vous ouvrent la porte des ventes chez les 180.000 Canadiens français de l’Ouest – CHFA, CFNS, CFRG, CKSB – le réseau de radio française de l’Ouest Canada.
1960
Une deuxième licence en vue d’exploiter une station de télévision à Winnipeg a fut accordée à Ralph Misener Associates (cette station allait devenir CJAY-TV). Roland Couture, directeur général de CKSB, étaitl’un des associés de Misener lors de cette initiative.
En tant que réseau de radio dans l’Ouest, CFNS Saskatoon, CFRG Gravelbourg, CHFA Edmonton et CKSB Saint-Boniface rejoignaient plus de 176 000 consommateurs francophones.
1965
A cette époque, CKSB diffusait à la fréquence 1050 kHz avec une puissance à plein temps de 10 000 watts. Roland Trudeau agissait désormais comme président de l’entreprise, et Roland Couture continuait à agir comme directeur de CKSB.
1973
Le 29 mars, Radio Saint-Boniface Ltée fut autorisée à vendre CKSB à la Société Radio-Canada. Depuis des années, CKSB avait offert un service de radiodiffusion à diverses communautés linguistiques (ukrainienne, polonaise, allemande, portugaise, juive et italienne). Sous la direction de la nouvelle titulaire, ce service serait discontinué au bout de 12 mois, pour que ces communautés aient le temps de mettre sur pied de la programmation alternative.
Le 1er avril, Radio-Canada prenait possession de CKSB.
Radio-Canada fut autorisée à ajouter un réémetteur de langue française à Thompson, à la fréquence 99,9 MHz avec une puissance de 86 watts (non directionnelle).
1975
CKSB fut autorisée à ajouter les émetteurs FM suivants: Flin Flon (99,9 MHz, 76 watts) et Le Pas (93,7 MHz, 79 watts).
1984
CKSB commençait à diffuser 24 heures par jour.
1993
Le 1er décembre, Roland Couture décédait, à l’âge de 83 ans. Il avait fondé CKSB en 1946.
1997
Le 1er septembre, le réseau de Radio-Canada fut renommé « la Première Chaîne ».
1999
Le 30 novembre, la titulaire fut autorisée à augmenter la puissance apparente rayonnée de l’émetteur CKSB-8-FM Brandon de 21 500 watts à 21 700 watts. Le système existant serait remplacé par une antenne multicanal, ce qui permettrait à CKWB-8-FM, CBWS- FM et CKWV-FM d’exploiter une seule antenne.
2001
En 2001, CKSB exploitait les émetteurs suivants : au Manitoba – CKSB-1 Sainte-Rose-du-Lac, CKSB-2 Saint-Lazare, CKSB-3-FM Le Pas, CKSB-4-FM Flin Flon, CKSB-5-FM Thompson, et CKSB-8-FM Brandon ; en Ontario – CKSB-6-FM Dryden, CKSB-7-FM Kenora, et CKSB-9-FM Fort Frances. CKSB diffusait environ 48 heures 55 minutes de programmation locale par semaine à partir de Saint-Boniface.
2003
Le 20 octobre, CKSB fut autorisée à remplacer CKSB-1 (AM) Sainte-Rose-du-Lac par un émetteur FM, à la fréquence 92,9 MHz avec une puissance apparente rayonnée de 5420 watts.
2006
Le 16 mars, le CRTC approuvait la demande déposée par Radio-Canada en vue de modifier la licence de radiodiffusion de CKSB Saint-Boniface afin d’exploiter un émetteur FM à Winnipeg. L’émetteur serait exploité à la fréquence 90,5 MHz (canal 213A) avec une puissance apparente rayonnée de 2800 watts. L’émetteur diffuserait la programmation du service du réseau national de langue française de la SRC, la Première chaîne. La SRC expliquait que la croissance urbaine, la construction de gratte-ciels de béton et d’acier, et l’augmentation des parasites électriques due au câblage aérien, aux appareils électriques de toutes tailles et aux émetteurs de radio portatifs nuisaient à la fiabilité et à la qualité du signal AM de ses diverses stations. La SRC déclarait que de nombreux citoyens qui se qualifiaient d’auditeurs de la radio de la SRC s’étaient plaint auprès d’elle de la mauvaise réception du signal de la SRC, tant chez eux qu’au bureau ou en voiture. Pour améliorer la qualité du signal de sa station AM dans la zone urbaine d’Edmonton, la SRC proposait d’y installer un émetteur FM à puissance modeste. La SRC ajoutait qu’elle continuerait à exploiter l’émetteur AM existant dont le très vaste périmètre de rayonnement en dehors du centre urbain desservi par la station serait complété par cet émetteur FM « imbriqué ». La SRC affirmait qu’elle avait envisagé d’autres moyens d’améliorer la qualité du signal, par exemple en modifiant le périmètre de rayonnement existant de son émetteur AM afin de renforcer le signal reçu dans le centre urbain ou en convertissant sa station de radio de la bande AM à la bande FM. Selon la SRC, les analyses de ces possibilités indiquaient que toute modification aux rayonnements AM entraînerait d’énormes coûts en capital pour des améliorations mineures à Edmonton et créerait des brèches en périphérie qui exigeraient peut-être d’installer plus d’émetteurs. La SRC maintenait que des entreprises FM seraient incapables à elles seules de reproduire la zone de couverture de ses émetteurs AM à cause de la baisse générale de disponibilité du spectre sur la bande FM pour les stations de radio de grande puissance. De plus, la SRC alléguait que la conversion de cette station de radio AM à la bande FM impliquerait d’utiliser un grand nombre d’émetteurs FM qui seraient exploités à des fréquences différentes pour desservir les mêmes régions. La SRC soutenait que l’installation d’émetteurs imbriqués serait la solution idéale pour préserver la zone de rayonnement actuelle du son signal AM en périphérie, car ces émetteurs amélioreraient son service dans le centre urbain et lui permettraient de conserver ses vastes périmètres de rayonnement en dehors de la ville. Selon la SRC, cette solution limiterait ses coûts en capital et réduirait les futurs besoins d’émetteurs et de fréquences FM supplémentaires. La SRC faisait valoir que les auditeurs avaient modifié leurs habitudes d’écoute au cours des dix dernières années et que la bande FM était maintenant plus écoutée au Canada que la bande AM. Selon elle, l’écoute de la bande AM avait diminué dans tous les marchés. Au mieux, elle demeurait stable – ce qui l’empêchait d’accroître ses parts de marché. À titre de comparaison, la SRC maintenait que sa position sur la bande FM à Ottawa et Toronto (Ontario), de même qu’à Halifax (Nouvelle-Écosse) et à Saint John (Nouveau-Brunswick) lui avait permis de conquérir de nouvelles parts de marchés dans ces régions.
2007
CKSB-10 – Le réémetteur « imbriqué » de CKSB-AM à Winnipeg – entrait en ondes.
2009/2013
2009
Le 12 mai, le CRTC renouvelait la licence de CKSB. Ce renouvellement incluait les réémetteurs suivants au Manitoba : CKSB-2 Saint-Lazare, CKSB-1-FM Sainte-Rose-du-Lac, CKSB-FM-3 Le Pas, CKSB-FM-4 Flin Flon, CKSB-FM-5 Thompson, CKSB-FM-8 Brandon, et CKSB-10-FM Winnipeg; et les émetteurs suivants en Ontario: CKSB-FM-6 Dryden, CKSB-FM-7 Kenora et CKSB-FM-9 Fort Frances.
2010
Le 9 août, le CRTC renouvelait administrativement la licence de CKSB (et ses émetteurs) jusqu’au 31 août 2011.
2011
Le 25 août, le CRTC renouvelait administrativement la licence de CKSB et ses émetteurs jusqu’au 1er mars 2013.
2013
Le 22 février, le CRTC renouvelait administrativement les licences de CKSB Saint-Boniface et ses émetteurs jusqu’au 31 août 2013.
Le 18 mars, le CRTC approuvait la demande présentée par la SRC en vue d’exploiter une entreprise de programmation de radio FM de langue française à Winnipeg afin de remplacer sa station CKSB-AM Saint-Boniface ainsi que son réémetteur imbriqué, CKSB-10-FM Winnipeg. La nouvelle station serait exploitée à la fréquence 88,1 MHz (canal 201C1) avec une puissance apparente rayonnée de 100 000 watts (antenne non directionnelle avec une hauteur effective d’antenne au-dessus du sol moyen de 223 mètres).
Le 28 mai, le CRTC renouvelait la licence de CKSB Saint-Boniface et ses émetteurs au Manitoba : CKSB-1-FM Sainte-Rose-du-Lac, CKSB-FM-3 Le Pas, CKSB-FM-4 Flin Flon, CKSB-FM-5 Thompson, CKSB-FM-8 Brandon, CKSB-10-FM Winnipeg et CKSB-2 Saint-Lazare, ainsi que ses émetteurs en Ontario : CKSB-FM-6 Dryden, CKSB-FM-7 Kenora, et CKSB-FM-9 Fort Frances, pour une durée de cinq ans, soit jusqu’au 31 août 2018.
Le 18 septembre, CKSB 1050 commençait à effectuer des essais à la fréquence 88,1 MHz.
Le 18 octobre, le CRTC approuvait la demande présentée par la Société Radio-Canada en vue de modifier les paramètres techniques de CKSB-9-FM Fort Frances (Ontario), en modifiant le diagramme de rayonnement de l’antenne de non-directionnelle à directionnelle, en réduisant réduire la puissance apparente rayonnée (PAR) moyenne de 5 .000 à 5620 watts (la PAR maximale passant de 50 000 à 12 350 watts) et en réduisant la hauteur effective de l’antenne au-dessus du sol moyen de 142 à 141,1 mètres.
2014
Le 3 janvier, CKSB 1050 et l’émetteur imbriqué CKSB-10 (90,5) Winnipeg quittaient les ondes définitivement.
The story continues elsewhere…
Effective September 1st 2019, we will only be adding new material to these station histories in exceptional circumstances. Our intent to chronicle the early days of these radio and television stations has been achieved, and many new sources and technologies, from the CRTC website to Wikipedia, and others, are now regularly providing new information in these areas.